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À qui profite un bad buzz ?

Les technologies de l’information et de communication sont en pleine croissance. Si certains utilisateurs font usage de l’internet pour se faire un gain, d’autres l’utilisent pour ruiner l’image d’un proche ou d’une marque. C’est ce qu’on appelle le bad buzz, mais qu’en est-il réellement ?

Bad buzz : ce qu’il faut retenir

Un bad buzz est une désinformation de bouche à oreille et ayant pour but de nuire l’image ou l’emblème d’une marque. Cette désinformation se divulgue sur l’internet provoquant la dégradation de l’image d’une personne ou corrompt la communication d’une entreprise quand c’est elle qui est concernée.

Parfois, c’est une vulgarisation marketing qui, ayant mal tourné, fait l’objet de critique, d’insultes ou la désorientation des internautes. En résumé, un bad buzz est un caractère viral d’une action surtout sur le Net qui revêt une mauvaise tournure détruisant l’image d’une entreprise ou d’une personne.

Qui profite vraiment d’un bad buzz ?

Le bad buzz vise un objectif précis. Soit une telle information est diffusée pour provoquer une extorsion, des menaces ou même des chantages, soit celui qui l’a fait a pour objectif de demander des rançons pour réparer les dégâts.

Ainsi, plusieurs moyens peuvent être utilisés pour exiger des profits, qu’importe sa nature pour faire arrêter une désinformation ou la diffusion d’un fichier compromettant sur le web. Parfois, quand on est en présence d’une diffamation, d’une médisance par-devers une personne ou d’une entreprise, le bad buzz profite aux spécialistes appelés à blanchir les faits et à trouver voies et moyens pour éviter ces situations à l’avenir. Ces nettoyeurs sont entre autres les juristes, les agences de e-réputation ou celles spécialisées en sécurité informatique.

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